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L’Onglerie® ouvre un nouvel institut à Bordeaux !
L’Onglerie® ouvre un nouvel institut à Bordeaux !
À 26 ans, Maëliss Trajean a ouvert son premier institut L’Onglerie® mercredi 20 décembre 2017 à Bordeaux Caudéran, grâce à la franchise participative.
Célibataire, sans emploi, mais avec un CAP esthétique en poche, c’est en 2014 que Maëliss Trajean quitte Cergy-Pontoise en région parisienne pour débarquer à Bordeaux, plus exactement à Biganos chez un membre de sa famille pour changer de vie.
« Comme beaucoup de Parisiens, j’en avais marre du gris & de la pluie. Et je ne me plaisais plus dans mon métier d’esthéticienne dans une grande enseigne où nous nous occupions des clientes à la chaîne sans vraiment prendre le temps d’instaurer une réelle relation avec elles », se souvient-elle. « Et puis je n’arrivais pas non plus en terre inconnue ! Adolescente, je venais chaque été passer les vacances scolaires chez mon oncle sur le bassin d’Arcachon. »
Armée de courage & de motivation, la jeune femme alors âgée de 22 ans, envoie des candidatures dans la région bordelaise. Dans des instituts de beauté généralistes ? Pas vraiment. « Les ongles, c’est mon rêve depuis toute petite », dit-elle dans un sourire. « J’ai donc spontanément postulé sur le site du réseau de franchise L’Onglerie sur l-onglerie.fr & ma candidature a été retenue ! »
Dynamique & courageux, le profil de Maëliss retient en effet l’attention. Mais une bonne volonté ne suffit pas pour être prothésiste ongulaire.
Une formation de deux mois prise en charge par le Pôle emploi
« L’Onglerie qui souhaitait m’embaucher m’a dans un premier temps encouragée à suivre sa formation qui délivre la certification professionnelle “Responsable de centre de mise en Beauté des Mains et des Pieds” de niveau IV inscrit au RNCP journal officiel, dispensée par le centre de formation de L’Onglerie à Bordeaux. »
Au terme de 9 semaines de formation qui sont prises en charge par le Pôle emploi, la jeune femme est embauchée en CDI à l’institut pilote de L’Onglerie de Bordeaux Bonnac, soit quatre mois après son arrivée dans la région.
Trois années en CDI
Peu de temps après la signature de son CDI, Maëliss rencontre son compagnon actuel. Ensemble, ils profitent de la région & de leur vie de jeunes adultes. Et puis en 2016, un petit Thiago pointe son nez. « Le congé parental a été l’occasion pour moi de réfléchir, de revoir mes centres d’intérêt & ma conception de la vie », raconte-t-elle. « Lorsque je suis revenue à l’institut, j’ai réalisé que mon fils me manquait & que le temps que je passais dans les transports m’empêchait de le voir, notamment le soir. » « J’ai eu l’honnêteté d’exprimer mon souhait à la direction de L’Onglerie de démissionner. Je pensais à l’époque devenir ma propre patronne sous un statut d’autoentrepreneur pour proposer mes services de prothésiste ongulaire à domicile. »
La franchise participative
Consciente de la perte d’un élément précieux comme Maëliss qui s’est avérée être au fil du temps très talentueuse, la franchise L’Onglerie l’a dans un premier temps mise en garde. D’une part, il semble assez compliqué pour une autoentrepreneur prothésiste ongulaire de s’équiper en produits & matériels nécessaires qui doivent répondre exactement aux exigences de la réglementation en vigueur. Et d’autre part, un fond de commerce peut acquérir une valeur commerciale considérable, ce qui n’est évidemment pas le cas lorsqu’on travaille à domicile.
« Nous avons beaucoup réfléchi ensemble », se remémore-t-elle. « Ils ne voulaient pas me perdre & moi, je voulais voler de mes propres ailes. » « Ils m’ont alors proposé d’ouvrir mon institut sous l’enseigne L’Onglerie. »
Maëllis n’ayant pas les moyens d’ouvrir dans l’immédiat son propre institut, L’Onglerie lui suggère alors une franchise participative qui est un moyen de retenir des candidats entrepreneurs possédant les qualités humaines et les compétences requises par le concept, notamment dans les secteurs d’activité nécessitant d’importants investissements initiaux. En entrant au capital de la jeune maman, le réseau de franchise l’a aidée à se lancer.
« J’ai été accompagnée, soutenue & épaulée à chaque étape : géostratégique, administrative, juridique, économique évidemment, mais aussi pour la déco, la communication, la création de mes réseaux sociaux, de ma fiche Google, de la prise de rendez-vous en ligne, etc. »
« Aujourd’hui, je ne regrette pas mon choix. D’une part, je suis très proche de mon lieu d’habitation & je vois mon fils beaucoup plus qu’avant. Et d’autre part, j’ai la chance d’avoir été suivie par une quinzaine de clientes avec lesquelles j’ai créé de vrais liens à l’institut de Bordeaux Bonnac. »
Institut L’Onglerie de Bordeaux Caudéran